L’histoire de notre siècle nous montre d’une manière générale que les hommes on vu leurs conditions de vie s’améliorer, mais ils n’ont pas trouvé le bonheur. L’observation est fait dans les pays les plus opulents. Les gens sont malheureux; de la solitude, de la dépression voire des suicides. Ce qui pousse les gens à se tourner vers des fausses croyances basées sur la sagesse humaine pour régler leurs problèmes. Certains recherchent réponse à leur détresse affective, et d’autres cherchent à trouver réponse à leur mal être.
L’homme n’est pas un être isolé autonome, détaché de tout et de tous, mais se situe dans un rapport essentiel avec Dieu. L’homme est le but de la création. Dieu a créé l’homme a son image.Si l’homme n’est pas fait pour Dieu, pourquoi n’est-il heureux qu’en Dieu? Si l’homme est fait pour Dieu, pourquoi est-il contraire à Dieu? disait Pascal dans (pensées, II, 169).
L’homme ressent un vide dans son profond être qu’il cherche à combler. Ce qui le pousse à se tourner vers des spiritualités basées sur la sagesse humaine. « Il y a un vide en forme de Dieu dans le cœur de chaque homme qui ne peut être rempli par aucune chose qui ait été créée mais seulement par Dieu, le Créateur, qui s’est fait connaître aux hommes par Jésus » Pascal l’a bien observé. L’homme ressent un vide en lui qu’il cherche à combler mais seul Dieu peut combler ce vide.
Vous avez tous vu beaucoup de code-barres sur les produits en magasin. Les informations sont codées dans un ensemble de barres verticales, mais elles n’ont qu’une capacité de stockage limitée d’environ 20 à 80 caractères. Les code-barres sont lus en projetant une ligne de lumière à travers le code-barres, et en réfléchissant la lumière qui se reflète sur les barres blanches du code.
Les QR, ou codes de réponse rapide (Quick Response), sont un tableau de carrés plutôt que de barres. Une sorte de code-barres en deux dimensions.
Les informations contenues dans le code QR
Les données stockées dans un code QR peuvent inclure des URL de sites web, des numéros de téléphone ou jusqu’à 4 000 caractères alphanumériques. Les codes QR peuvent également être utilisés pour créer un lien direct vers le téléchargement d’une application sur l’App Store d’Apple ou Google Play. Authentifier des comptes en ligne et vérifier les informations de connexion. Accéder au Wi-Fi en stockant des informations de cryptage telles que le SSID, le mot de passe et le type de cryptage. Envoyer et recevoir des informations de paiement.
Un code QR peut être lu avec un appareil photo simple, comme celui de votre smartphone. Il est plus rapide à lire et à traiter que les code-barres. Vous pouvez générer un code QR pour n’importe quel type d’information, en utilisant un générateur de code QR standard que vous pouvez trouver en ligne.
Les codes QR sont délimités par ces trois motifs carrés, ce qui permet au logiciel d’identifier et de localiser un QR à partir d’une image.
Il utilise ensuite ce petit carré comme marqueur d’alignement, pour normaliser l’image en fonction de la taille, de l’orientation et de l’angle de vision. Cela est dû au fait que toutes les photos d’un code QR prises avec un appareil photo auront un aspect légèrement différent, selon la façon dont elles sont prises.
L’application de lecture de code QR va ensuite décoder les informations du motif des carrés noirs et blancs à l’intérieur du périmètre des grands marqueurs carrés. Les données sont généralement encodées d’une manière qui incorpore la correction d’erreur, pour compenser les situations où la photo prise est imparfaite. Une partie de l’espace d’information est réservé pour encoder une version et un format du code QR utilisé. Donc c’est une sorte de projection.
Comment fonctionne le paiement QR code ?
Avec le paiement par code QR , vous pouvez scanner et payer plus rapidement à la caisse. Il est conçu pour rendre les achats plus sûrs et plus faciles.
Dans le paysage numérique actuel en évolution rapide, un traitement transparent et sécurisé des transactions est essentiel pour les institutions financières, les passerelles de paiement et les entreprises en ligne. La norme ISO 8583, une norme largement acceptée pour la messagerie financière, facilite la communication entre les différentes entités impliquées dans les transactions électroniques.
ISO 8583 est un protocole transactionnel utilisé par une multitude d´applications dans le domaine bancaire. En effet, la plupart de nos transactions de cartes sont véhiculées via le protocole ISO 8583. C’est un protocole utilisé dans les échanges en ONLINE en monétique.
Il définit une interface a travers laquelle deux entités distincts peuvent s’échanger des messages monétiques. C’est-à-dire qu’il définit le format du message à échanger entre les différents acteurs de la monétique pour harmoniser leur communication. La version 1993 sera utilisée dans cette présentation.
MTI
BITMAT
DATA ELEMENT
BITMAP : Indique la présence ou non d’un élément dans le message, représenté sur 16 positions en hexadécimal. Un message ISO 8583 peut contenir jusqu’à 192 DE, ces DE sont repérés à l’aide de trois (3) bitmaps.
Bitmap Primaire: indique la présence des éléments de 1 à 64, il est toujours présent dans un message ISO 8583; Informe sur la présence éventuelle du bitmap secondaire. Il est sur 16 positions Hexa (exploitable sur 64 positions binaires) indique la présence par (1 ou 0) des champs dans le message.
Bitmap Secondaire: indique la présence des éléments de 65 à 128, informe sur la présence éventuelle du bitmap tertiaire.
Bitmap tertiaire: informe sur la présence des éléments de 129 à 192
Data Eléments (DE) : Les DE sont des champs contenant les données de la transaction. Il y a jusqu’à 192 DE défini dans la norme ISO 8583 version 1993. Un élément du message est caractérisé par : Une position (numéro entre 1 et 192) Un type Une longueur Une valeur
Le paiement par code QR offre une solution sans contact pour effectuer des transactions. Au lieu d’utiliser un terminal de paiement traditionnel, les utilisateurs scannent simplement un code QR à l’aide de leur application mobile. Cette méthode élimine bon nombre des infrastructures associées aux paiements électroniques classiques, telles que les cartes de paiement, les réseaux de paiement et les comptes marchands. Pour utiliser ce mode de paiement, le consommateur scanne le code QR fourni par le commerçant, entre le montant à payer, puis soumet la transaction. Il offre une alternative sécurisée aux paiements où la carte n’est pas physiquement présente.
Le code QR mVisa est une forme de code à barres contenant les informations du commerçant (nom et numéro de compte du commerçant) requises pour le paiement. Il vous suffit de scanner ce code QR avec le scanner intégré à l’application mVisa pour lancer le processus de paiement.
Il est conçu pour rendre les achats plus sûrs et plus faciles. Avec le paiement par QR code, vous pouvez scanner et payer plus rapidement à la caisse.
Les informations contenues dans le QR code
Les données stockées dans un code QR peuvent inclure des URL de sites web, des numéros de téléphone ou jusqu’à 4 000 caractères de texte. Les codes QR peuvent également être utilisés pour
Créer un lien direct vers le téléchargement d’une application sur l’App Store d’Apple ou Google Play. Authentifier des comptes en ligne et vérifier les informations de connexion. Accéder au Wi-Fi en stockant des informations de cryptage telles que le SSID, le mot de passe et le type de cryptage. Envoyer et recevoir des informations de paiement.
Le 3D Secure est un protocole de sécurité basé sur XML conçu pour renforcer la sécurité des transactions en ligne effectuées par carte de crédit et de débit. Également connu sous le nom de Three-Domain Secure d’EMV 3-D, il s’agit d’un protocole de communication développé par EMVCo pour permettre aux consommateurs de s’authentifier auprès de l’émetteur de leur carte lorsqu’ils effectuent des achats en ligne sans avoir leur carte physique (Card Not Present). Cette couche de sécurité supplémentaire vise à prévenir les transactions non autorisées effectuées sans la présence physique de la carte et à protéger les commerçants contre les risques de fraude.
Les trois domaines impliqués comprennent le domaine marchand/acquéreur (gateway), le domaine de l’émetteur et le domaine d’interopérabilité, qui englobe les systèmes de paiement tels que le serveur de répertoire et le serveur de contrôle d’accès (ACS – Access Control Server).
Le processus 3D Secure ajoute une étape d’authentification supplémentaire pour les paiements en ligne, nécessitant par exemple un mot de passe unique, un code SMS ou un code PIN temporaire pour compléter la transaction. ( En savoir plus sur la 3D Secure)
Le fonctionnement 3Ds
Architecture 3Ds
ÉTAPE 1 –Collecte d’informations sur la carte : pendant cette première étape, le titulaire de la carte saisit les données de sa carte bancaire. ÉTAPE 2 -Confirmation d’inscription à 3D Secure : ensuite le système vérifie si la carte est enregistrée ou non pour la 3D Secure. Si oui, le client est alors redirigé vers une page 3D Secure fournie par le fournisseur de la carte.
ÉTAPE 3 -Phase d’Authentification de sécurité : Sur le site Web du fournisseur, le client sera invité à entrer son mot de passe unique ou un code d’authentification à usage unique (OTP) qui sera envoyé soit par mail à son adresse ou envoyé soit à son numéro de téléphone.
ÉTAPE 4 Si l’authentification du titulaire de la carte a réussi, le titulaire de la carte est ensuite redirigé vers le site Web du commerçant pour confirmation du paiement. La banque acquéreuse autorise la transaction (en communiquant avec le réseau de cartes de crédit et la banque émettrice.
ÉTAPE 5 -Confirmation de paiement : Une fois de retour sur le site du marchand, le client recevra la confirmation d’un paiement (réussi échec). La réponse de la transaction (succès ou échec) est renvoyée au consommateur.
Notion importante : Autorisation vs authentification
L’autorisation représente la validation par la banque émettrice de l’exactitude des informations de la carte fournies, ainsi que l’approbation de la facturation conformément à des règles internes établies (telles que l’autorisation des transactions en ligne, des pays d’achat autorisés, la disponibilité des fonds, etc.).
Quant à l’authentification, elle implique que le consommateur démontre à la banque émettrice qu’il est bien la personne autorisée à effectuer la transaction. Ce processus d’ « authentification » se déroule de manière similaire à celui de la connexion à un site Web.
Il est important de noter que lorsqu’on compare les deux processus décrits ci-dessus (les paiements avec et sans 3D Secure), le paiement sans 3D Secure ne permet pas la communication directe entre la banque émettrice et le consommateur. Dans le cadre du processus d’autorisation de la banque acquéreur, la banque émettrice se limite à vérifier les informations de la carte du consommateur et à autoriser ou refuser la transaction en fonction des paramètres du compte tels que la validité de la carte, la disponibilité des fonds, la non expiration de la carte, etc.
Un terminal de paiement, connu aussi sous le nom de terminal de point de vente (TPV), terminal de carte de crédit, ou TPE, est un appareil conçu pour communiquer avec des cartes de paiement afin d’effectuer des transferts de fonds électroniques.
Ces dispositifs permettent aux commerçants d’insérer, de scanner ou d’entrer manuellement les informations requises des cartes de crédit/débit, de prendre en charge les transactions sans contact via la technologie NFC, et de transmettre ces données à leur fournisseur de services pour autorisation. Ensuite, les fonds sont transférés au commerçant.
Comment fonctionne le paiement via un TPE ? Lors d’un achat en point de vente, également appelé point de vente, la transaction est finalisée lorsque le client effectue le paiement en échange de biens ou de services. Toutes sortes de moyens de paiement peuvent être utilisées, comme l’argent liquide, les cartes de débit, les cartes de crédit, les paiements mobiles, voire même les Bitcoins.
Les différents types de terminaux
TPE fixe pour ligne téléphonique ou accès ADSL
Il s’adresse aux commerçants qui font de l’encaissement de comptoir. Il peut être relié soit sur une ligne téléphonique ou soit sur un accès ADSL avec une prise RJ 45 à condition de disposer un abonnement spécifique ADSL pour TPE. Il permet de faire des achats de toute nature. Le client n’a besoin que de sa carte à mémoire avec son code secret pour pouvoir effectuer le règlement de ses achats. Grâce à une liaison directe avec l’ordinateur de la banque, il permet de transférer immédiatement toutes les informations relatives à l’opération (achat) aux différentes banques concernées (la banque du commerçant pour l’encaissement) et la banque du client (pour décaissement).
Le T.P.E comprend donc : un clavier, un équipement de visualisation, un lecteur de carte, un poste client pour la frappe de code secret et une imprimante.
TPE GPRS Portable
Grace à son système de réseau GPRS, il fonctionne partout à condition d’avoir du réseau à l’aide d’une puce GPRS d’un opérateur. Le système GPRS permet d’être connecté. Il faut noter que les TPE GPRS sont de plus en plus remplacés par les 3G et 4G
TPE Bluetooth portable et sans contact
Ce TPE dispose d’une technologie sans contact ou NFC permettant de réaliser un encaissement sans introduire la carte bancaire dans le terminal CB ou payer via son téléphone portable.
Les réseaux sociaux sont un moyen de communication que nous utilisons au quotidien pour rester en contact avec nos proches. Ils sont à l’ère du temps et ancrés dans nos habitudes. Il peut nous arriver de partager un contenu vu sur les réseaux sociaux à nos proches. Je suppose que nous l’avons tous fait au moins une fois. Cependant, sur Internet, un mensonge répété des millions de fois fait office de vérité pour certains. Aujourd’hui, une masse importante d’informations (vraies et fausses, utiles et parfois sans valeurs) circulent sur les réseaux sociaux.
Nous produisons une quantité importante de données qui circulent à grande vitesse. Comment savoir si une information est vraie ? Les gens font recours à des technologies informatiques comme l’intelligence artificielle pour fabriquer ou manipuler des contenus médias. Comment dans ce cas les médias sociaux peuvent-ils faire office de vérité ?
Les fakes news
Le terme «Fake news» désigne fausse information. Le fake est partout et notamment sur les réseaux sociaux. Elle constitue un problème de société, elle est dangereuse car souvent organisée, dotée de ressources importantes et renforcée par le recours à des technologies informatiques.
L’accès à la technologie a rendu les gens plus faciles à manipuler avec de fausses informations; les médias sociaux ont accru le risque que les gens soient manipulés par des politiciens ou par des groupes de personnes. On influence l’opinion des autres avec des textes qui sèment suffisamment la confusion pour que les gens ne sachent plus qui ou quoi croire. L’océan numérique est devenu une marée noire de contenu douteux, laissant plus de scepticisme que de certitude.
Tout le monde écrit, photographie, filme et témoigne, tout le monde donne son point de vue et partout en tout temps. Nous sommes submergés par des publicités, du marketing commercial et politique, des mensonges circulant à la vitesse de la lumière. Ce qui a tendance à remplacer notre esprit critique par des suspicions. Les fausses nouvelles sont rédigées de manière à susciter plus de colère. On n’arrive plus à distinguer le vrai du faux. Pouvons-nous vraiment faire confiance aux réseaux sociaux en tant que bonnes sources d’information ?
Il ne vous ait jamais arrivé de voir un article sur les réseaux sociaux et de dire c’est ce que je pensais ou alors cet article s’adresse directement à moi ? Cela vous pousse à le partager sur le champ. La stratégie est de faire croire que tout est une question de point de vue. Ce qui pousse les gens à la culture de la haine. On peut voir des contenus modifiés, des mensonges qui peuvent se combiner pour fabriquer un discours politique dans l’intension de semer la confusion dans l’esprit des gens. Les gens se sentent libres de publier ce qu’ils veulent, et parfois ces publications peuvent conduire à des comportements dangereux.
L’aspect malsain des réseaux sociaux
En plus de la désinformation, les réseaux sociaux développent un climat social façonné par des activités très négatives. Du harcèlement, de la méfiance, la haine, la jalousie, l’esprit compétitif etc. Ils sont tellement ancrés dans notre quotidien qu’il nous semble impossible de s’en passer. Parfois intrusifs et envahissants.
Les médias sociaux attirent notre attention sur tous les mauvais contenus, ce qui entraîne un sentiment général de malaise. Tout ce qui est négatif que nous regardons sur les réseaux sociaux peut nous détruire de l’intérieur. Les images que je m’autorise à infliger à mon cerveau sont-elles utiles ? Quand on swape on télécharge quantité d’informations dans le cerveau. Certaines n’ont aucune utilité pour notre cerveau.
L’utilisation des médias sociaux est l’une des activités de loisirs les plus populaires chez les adolescents. Parallèlement à cela, il y a une préoccupation croissante concernant l’utilisation problématique des médias sociaux et sa relation avec les comportements de santé. Récemment, le terme «dépendance au smartphone» (SPA) a été introduit pour décrire le comportement addictif lié au smartphone et les troubles physiques et psychosociaux qui lui sont associés.
Nous produisons une masse de données importantes que nous gérons au quotidien. En 2020, il est par exemple estimé qu’une minute suffise pour que 400 000 heures de vidéos soient regardées sur Netflix, 42 millions de message envoyés sur WhatsApp et plus de 6 600 colis expédiés sur Amazon. C’est autant de données que nous produisons et gérons au quotidien. Les chiffres sont publiés par le site Visual Capitalist. Voici une sélection d’applications et de plateformes phares :
Ce graphique donne un aperçu de l’activité et des données générées sur Internet en l’espace d’une minute, en 2020.
Comment pouvons-nous identifier les informations erronées sur internet ?
Les informations trompeuses créent souvent la confusion et la manipulation dans l’esprit des internautes. C’est pourquoi dans le monde numérique d’aujourd’hui, nous devons être à mesure d’identifier les contenus visuels trompeurs :
Dans la plupart des cas, les images trompeuses sont constituées par de vieilles images en modifiant la description de l’image grâce à des logiciels de traitement d’image (Photoshop, lightroom etc.) ou d’autre application mobile. On prend des images qui ne collent pas avec l’endroit et la date.
Contenu manipulé : aujourd’hui les gens se servent de l’intelligence artificielle pour créer des contenus qui vous feront croire que c’est vrai alors que cela peut s’avérer faux. On fait recourt aux moyens numériques sophistiqué pour manipuler des contenus. Ça peut être le clonage de la voix, une vidéo truquée ou soit le DeepFace qui consiste à remplacer l’image faciale d’une personne par une autre, etc.
Contenu fabriqué : c’est un contenu original mais créer dans l’intention de tromper.
Avant de partager une information sur les réseaux sociaux, il faut avant tout vérifier si l’information provient d’un site Web officiel et fiable, ou d’une source inconnue. Si vous n’êtes pas sur de la source, demander conseil aux personnes qualifiées de vous orienter. Certains internautes partagent quand même en espérant que le destinataire va vérifier la source de l’information. Mais, ce n’est pas la bonne manière.
Ensuite pensons aux dommages que cela pourrait causer : Est-ce que mon partage n’aura pas de conséquences sur la réputation d’une personne ? Certaines informations peuvent être de nature confidentielle et donc il faut respecter la vie des autres.
Ce n’est pas parce qu’une information est en ligne ou partagée par un proche qu’elle est forcément vraie; pas toujours. «La personne naïve croit chaque mot, mais la personne avisée réfléchit à chaque étape.» (Proverbes 14:15). Utilisons notre esprit critique pour analyser l’information avant de la partager.
Nous devons arrêter d’être des consommateurs passifs, prenons le temps de vérifier la source de l’information. Nous devons aussi être sélectifs sur ce que nous lisons sur Internet. Tout n’est pas consommable.
La patience, selon la définition commune présentée par Wikipédia, se réfère à la capacité d’attendre longtemps sans ressentir d’irritation ni de lassitude. Nous observons de plus en plus une perte de patience et de sang-froid chez la nouvelle génération. Cette génération se caractérise par son impatience, son exigence et son attachement aux tendances actuelles. Nous sommes devenus trop exigeants, désirant tout instantanément. Malgré cela, la patience, avec ses vertus telles que la tolérance, le pardon et la foi, semble disparaître progressivement chez les jeunes. Pourtant, l’impatience peut nous nuire. Quelles sont donc les causes de cette impatience chez les jeunes ? Comment pouvons nous cultiver la patience ? Tout au long de cet article, nous examinerons ces questions et fournirons des pistes de réflexion.
Comment la technologie nous rend impatients?
Nous évoluons dans un monde où la technologie façonne un rythme de vie effréné. Internet est désormais indispensable, facilitant nos tâches et accélérant nos actions. Grâce à l’automatisation, nous pouvons réaliser plusieurs actions instantanément. Toutefois, ces progrès technologiques, en mettant tout à notre disposition en un instant, ont engendré une impatience marquée chez la jeune génération.
L’impatience, l’intolérance et le manque de clémence semblent être monnaie courante parmi les jeunes. Ils manquent de patience et réclament des résultats immédiats. Les réseaux sociaux, tels que WhatsApp, Facebook ou Instagram, sont largement utilisés, mais combien d’entre nous prennent le temps de lire les conditions d’utilisation de ces applications ? De même, la lecture des notices de médicaments est devenue rare. Nous nous contentons du visuel, sans prendre le temps de nous attarder sur l’essentiel. Cette impatience se manifeste également dans les embouteillages ou les files d’attente, où nous sommes pressés et craignons de perdre du temps. Le temps est devenu une ressource si précieuse que nous en surveillons minutieusement chaque utilisation.
Aujourd’hui, grâce à la technologie, les jeunes n’ont plus besoin de se déplacer pour effectuer leurs achats. Quelques clics et un appel téléphonique suffisent pour que leurs articles soient livrés instantanément. Cette rapidité apparente est un avantage considérable pour la génération actuelle. Cependant, ces avancées technologiques ont engendré un changement négatif dans notre comportement.
Nous attendons des services une efficacité maximale dans les délais les plus brefs. Tout retard suscite de l’impatience, voire de la colère. Le moindre défaut est l’objet de protestations.
Il est a noté aussi que l’impatience ne soit pas seulement limitée à la jeune génération, j’ai vu des personnes âgées perdre patience et crier aux guichets des banques, ou dans les embouteillages. Mais le problème est sûrement plus répandu chez les jeunes.
L’impatience dans les relations
L’impatience est un facteur souvent à l’origine de nombreuses ruptures dans les couples aujourd’hui. Nous sommes fréquemment impatients dans nos relations avec autrui, exigeant que tout soit parfait ou que les personnes répondent à des critères de perfection. Lorsque nos attentes ne sont pas comblées, nos réactions peuvent être disproportionnées. Cette dynamique se retrouve également au sein de nos familles. Aimer, c’est aussi respecter nos différences. Il est irréaliste d’attendre que l’autre corresponde exactement à nos attentes.
La patience dans une relation implique également la compréhension de nos émotions, c’est-à-dire savoir jusqu’où nous pouvons être affectés. Il n’est pas juste d’exploiter la patience de notre partenaire pour justifier un comportement inapproprié. Les sentiments sont manipulés lorsque nous nous rendons compte que notre amour nous oblige à tolérer et à patienter indéfiniment. La patience est un signe d’amour ; nous faisons preuve de patience et de tolérance parce que nous aimons, tout comme Dieu est patient envers nous.
En tant que jeunes, il est crucial de comprendre que la patience, en attendant le bon moment, contribue à bâtir des relations solides et durables. Il est essentiel de consacrer du temps à travailler sur soi-même. Le problème réside dans notre tendance à précipiter les choses dans nos relations, et dès qu’une difficulté survient, nous sommes prêts à envisager la séparation. Prendre son temps permet d’améliorer les choses et de récolter de bons résultats. Après tout, n’est-il pas dit que les bonnes choses prennent du temps ?
L’ambition de réussir dans le domaine professionnel
La quête de succès sur Internet suscite en nous une impatience envers notre propre parcours. Nous sommes préoccupés par l’avenir et ce qu’il pourrait nous réserver. En voyant des individus partager leurs réussites sur les réseaux sociaux, nous sommes incités à vouloir les imiter, et ce, de manière rapide et efficace. Plus nous sommes exposés à ces succès, moins nous faisons preuve de patience.
L’impatience représente également une ouverture par laquelle le Diable cherche à semer le doute dans nos prières et à nous décourager quant à ce que nous attendons de Dieu. Il tente de semer le scepticisme dans nos esprits, nous faisant croire que nous perdons notre temps, alors que Dieu prend le temps nécessaire pour nous façonner et nous rendre aptes et matures avant de nous accorder ce qu’il a préparé pour nous. Toutefois, notre impatience peut éroder notre foi, engendrant ainsi de l’anxiété.
Comment améliorer la patience ?
Nous avons la possibilité d’améliorer notre pratique de la patience au quotidien. Par exemple, dans un conflit, lorsque vous pourriez légitimement vous mettre en colère mais que vous choisissez de rester calme, cela dénote votre patience.
La patience peut être cultivée dans de nombreuses situations de la vie courante, comme attendre patiemment dans une longue file d’attente au supermarché ou à la banque. De même, nous pouvons apprendre à patienter pour que Dieu réponde à nos prières en son temps. Si nous avons une idée à développer, prenons le temps de réfléchir soigneusement avant d’agir.
La patience prépare à un avenir meilleur. Si aujourd’hui on a accès à certaines choses de la vie plus facilement et instantanément, il y a de grandes choses qui demandent du temps.
L’histoire de notre siècle nous montre d’une manière générale que les hommes on vu leurs conditions de vie s’améliorer, mais ils n’ont pas trouvé le bonheur. L’observation est fait dans les pays les plus opulents. Les gens sont malheureux; de la solitude, de la dépression voire des suicides. Ce qui pousse les gens à se tourner vers des fausses croyances basées sur la sagesse humaine pour régler leurs problèmes. Certains recherchent réponse à leur détresse affective, et d’autres cherchent à trouver réponse à leur mal être.
Nous voyons un peu partout un groupe de personne appelés motivateurs, coachs de vie ou soit gourous apparaître et faisant bruit sur la toile. Vous aurez peut être vu leurs publicités clignotées sur votre petit écran avec des slogans comme la puissance de votre pensée positive, votre malheur ne vient pas de votre condition de vie mais du conditionnement de votre esprit, transformer vos rêves en réalité grâce à votre pensée… faisant ainsi la promotion de leurs formations. Leur objectif principal est d’aider les personnes à sortir des barrières psychologiques dues à leurs croyances limitant ainsi le plein potentiel enfoui au dedans d’eux et ayant un impact sur leur estime de soi.
Pensée positive
Aujourd’hui nous sommes tous concernés par cette tendance, vouloir des résultats sans effort et rien que par l’attitude positive de notre pensée. Des grands penseurs ont écrit des livres sur le développement personnel. Nous pouvons citer entre autres :
Réfléchissez et devenez riches de Napoléon Hill;
Norman Vincent Peale a écrit « The power of Positive Thinking » (Le pouvoir de votre pensée positive). Il décrit dans ce livre comment transformer ses émotions négatives en attitude positives gagnantes.
Dale Carnegie a écrit en 1949 « Triomphez de vos soucis : vivez que diable ».
Nous voulons que les choses se produisent rien que par l’attitude positive de notre pensée. Comment une personne qui a pour projet de devenir riche peut-il parvenir à ce résultat rien que par l’attitude de sa pensée positive sans aucune action concrète? L’indépendance financière est le résultat d’une série d’actions et de travail bien fait. Mais avec le développement personnel, lire des livres, suivre des séminaires, des programmes de formation en ligne ou en présentiel, des ateliers d’assistance individuelle suffisent pour avoir l’indépendance financière.
Voilà ce à quoi nous assistons aujourd’hui. C’est un véritable phénomène de société et parfois un business travaillé. Il y a une commercialisation autour de cette psychologie positive. Des millions de livres sont vendus sous la base des témoignages ou des recommandations. Ils expliquent comment vivre heureux mais de plus en plus de personnes sont malheureuses. Ils organisent des séminaires autour du mariage mais nous constatons de plus en plus des divorces. Ils donnent des formules à répéter tous les jours et à méditer en fermant les yeux; ainsi, tous vos problèmes seront résolus.
C’est tellement subtil de faire croire une telle chose à quelqu’un. Ces fausses idées eurent un effet dévastateur dans la vie de certaines personnes les conduisant à la complaisance, et à l’addiction. On a toujours besoin de lire ces livres pour se sentir mieux mais au final, vous avez l’impression que rien ne s’améliore dans votre vie.
A un moment donné, il faut que l’homme s’arrête et se pose un certain nombre de questions: Suis-je pas capable d’être moi-même au point d’être influencer par d’autres en me dictant des formules dites magiques que je dois répéter à la longueur de journée pour avoir une vie épanouie? Suis-je pas la créature la plus intelligente sur terre?
L’homme est un être spirituelqui a besoin de Dieu
L’homme n’est pas un être isolé autonome, détaché de tout et de tous, mais se situe dans un rapport essentiel avec Dieu. L’homme est le but de la création. Dieu a créé l’homme a son image.Si l’homme n’est pas fait pour Dieu, pourquoi n’est-il heureux qu’en Dieu? Si l’homme est fait pour Dieu, pourquoi est-il contraire à Dieu? disait Pascal dans (pensées, II, 169).
L’homme ressent un vide dans son profond être qu’il cherche à combler. Ce qui le pousse à se tourner vers des spiritualités basées sur la sagesse humaine. « Il y a un vide en forme de Dieu dans le cœur de chaque homme qui ne peut être rempli par aucune chose qui ait été créée mais seulement par Dieu, le Créateur, qui s’est fait connaître aux hommes par Jésus » Pascal l’a bien observé. L’homme ressent un vide en lui qu’il cherche à combler mais seul Dieu peut combler ce vide.
Les dérives du développement personnel
Vous êtes vous posez une fois la question de savoir qui sont ces gens qui vendent et projettent du rêve dans la tête et qui ont la solution à tous nos problèmes ? Ont-ils été formé et par qui ? La plupart qui exercent n’ont pas de structure professionnelle ni un cadre légale. N’importe qui se lève un matin et dit je suis coach en développement personnel. Ce qui est choquant c’est de voir une foule connectée sur les réseaux sociaux pour écouter ceux qui se disent coach en relation qui donnent des mauvais conseils qui au final divisent les couples. Et certaines personnes croient retrouver la réponse à leur détresse quotidienne en croyant à ces prétendus coachs en relation. Le coaching doit aider à construire de bonnes relations, à réconcilier les gens mais pas à les diviser.
Nombreuses méthodes à vocation mystique ou thérapeutique sont utilisées aujourd’hui. Elles consistent à se souvenir vaguement du passé. Ils disent faites tout sortir, parler de ce que vos proches vous ont infligés pendant l’enfance, c’est le seul moyen et la seule voie de la guérison intérieur. Vous remarquerez aujourd’hui que certaines femmes se souviennent soudainement des hommes qui les auraient violé ou fait des attouchement il y a quelques années plus tôt. Même si cela s’avère vrai, sous quelle validation scientifique se basent-il pour appliquer ces méthodes ?
Parmi les diverses méthodes utilisées, certaines ayant dérivé vers le sectarisme et du charlatanisme. Ce qui cause des effets dévastateurs. D’autres relèvent de l’escroquerie ou de la manipulation mentale. Le développement personnel aide beaucoup de personnes à avoir confiance en eux mais en évitant de donner du pouvoir à la personne qui nous l’enseigne. Certains profitent du mal être des autres pour détruire des vies. Je vous laisse regarder cette vidéo de l’émission Enquête exclusive qui se passe sur TF1.
L’homme du 21e siècle a trouvé les secrets du confort mais non celui du bonheur. A travers cette vidéo, nous voyons que notre société est profondément malade, de la dépression dû à la solitude et au manque d’amour. En voyant les problèmes énormes de notre temps on a l’impression d’assister à une inversion du progrès. Personnellement je comprend le développement personnel dans la limite où il aide à s’affirmer. Mais pousser les gens jusqu’aux envies de suicide et de dévotion totale, c’est dépassé la limite du raisonnable.
Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s’appuyant sur la tradition des hommes, sur les rudiments du monde, et non sur Christ. Car en Lui habite corporellement toute la plénitude de la divinité. Vous avez tout pleinement en Lui, qui est le chef de toute domination et de toute autorité.
Colossiens 2 : 8-10
Les critiques autour du développement personnel
Nous vivons aujourd’hui dans une société où le bonheur se trouve dans la possession du matériel. On prétend vouloir le bonheur mais on s’accroche au malheur. On ne peut pas être toujours positif. Norman Vincent Peale dans son livre L’art subtil de s’en foutre dit : « L’aspiration à vivre des expériences plus positives est en soi une expérience négative. Cela ne fait que renforcer le sentiment de manque. Parfois quand tu te préoccupes moins de réussir certaines choses tu les réussis mieux. »
Les sociologues Edgar Canabas et Eva Illouz auteurs de Happycratie: Comment l’industrie du bonheur a pris le contrôle de nos vie, (Paris, Premier Parallèle, 2018, 260p) mettent ainsi en garde contre cette prétendue « science du bonheur » décrite par tant de best-sellers et qui n’est qu’une pseudo science forgée par le marketing.
David Wilkerson disait « Un vent diabolique souffle sur la maison de Dieu, et trompe un très grand nombre de chrétiens… c’est un décollage scripturaire à partir du livre de Napoléon Hill, Réfléchissez et devenez riches. Cet évangile perverti tend à faire des hommes des dieux. On leur dit : votre destinée est aux mains de votre esprit » il poursuit en disant :
« Dites-le et vous l’avez. Créez, grâce à une attitude positive, et vous aurez le succès, une santé parfaite , la richesse… Tout cela est à vous, si vous avez une pensée créative. Réalisez vos rêves en pensant comme il faut… Que cela soit compris, une fois pour toutes : Dieu ne renoncera pas à la seigneurie sur nos propres esprits, et sur leur pouvoir. Nous devons seulement chercher la pensée de Christ, et cette pensée n’est pas matérialiste. Elle n’est pas centrée sur le succès ou la richesse. La pensée de Christ est centrée sur la gloire de Dieu et l’Obéissance à Sa Parole. »
L’introduction des nouvelles technologies dans le secteur financier a engendré l’émergence de nouvelles méthodes de transaction, dont la monétique. Cette dernière représente un système visant à enregistrer diverses informations financières des utilisateurs sur des cartes à puce, modifiant ainsi les habitudes de dépenses des individus. Ces avancées permettent aux particuliers de se passer du transport d’importantes sommes d’argent liquide. Alors, c’est quoi la « monétique » ?
La BCEAO (Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest) définit la monétique comme l’ensemble des processus électroniques, informatiques et télématiques requis pour la gestion des cartes bancaires et des transactions qui y sont associées. En d’autres termes, il s’agit de l’ensemble des systèmes et méthodes qui permettent à un client d’effectuer des retraits, des paiements ou d’autres services bancaires à l’aide d’une carte. (Voir définition des termes monétique)
Architecture du système monétique
La monétique est un écosystème qui fait intervenir plusieurs acteurs. Elle se compose de cinq (5) piliers, dont le support (la carte bancaire), l’émetteur (une banque), le porteur (titulaire de la carte bancaire, entreprise ou personne physique), l’acquéreur (la banque du commerçant) et l’accepteur (le commerçant acceptant le paiement électronique). Le fonctionnement du système monétique met en relation plusieurs acteurs d’une opération de paiement : porteur, accepteur, acquéreur, émetteur et le réseau de paiement.
Emetteur : Il s’agit de l’organisme financier (par exemple, une banque) qui met à disposition de son client (le porteur) un support (la carte bancaire). L’émetteur assure la sécurité du système bancaire et fournie une assurance en cas d’utilisation frauduleuse du moyen de paiement. Il détient le compte associé à la carte du porteur.
Acquéreur : Il s’agit de l’organisme financier (par exemple, banque) qui met à disposition de son client (un commerçant, artisan ou profession libérale …) des services d’acquisition de transactions de paiement électronique, notamment grâce à un terminal de paiement électronique (TPE). Plus généralement, il s’agit de la banque du commerçant (pour les paiements) ou la banque du Guichet Automatique de Banque (GAB) ou s’effectue le retrait. De façon générale, l’acquéreur pilote le système d’acceptation de la carte. Accepteur : Toute personne morale (commerçant, artisan, ou profession libérale) acceptant les moyens de paiement électronique en guise de règlement. Dans le cas des automates bancaires (GAB, DAB) l’accepteur est également l’acquéreur (la banque offrant le service de retrait).
Si c’est un commerçant, il signe un contrat commerçant avec l’acquéreur. Il dispose d’un compte au niveau de cet acquéreur, il paiera aussi des commissions par rapport au montant des transactions acceptées. Il doit signaler à sa clientèle l’acceptation de type de paiements par l’affichage de vitrophanie (par ex) fournie par l’acquéreur. Les DAB/GAB sont eux considérés comme des accepteurs particuliers qui appartiennent généralement à la banque acquéreur.
Porteur : Il s’agit de la personne physique qui porte la carte de paiement. Le porteur peut être titulaire du compte courant auquel la carte est adossée (compte sur lequel seront prélevés les débits) ou non (carte affaires portée par des employés alors qu’elle est adossée à un compte de l’entreprise, carte portée par un adolescent alors qu’elle est adossée au compte d’un parent, etc.). Il doit souscrire à un contrat porteur carte bancaire où sont indiquées les conditions générales portant, entre autres, sur la délivrance, l’utilisation, la sécurité et le renouvellement de la carte. En règle générale, le porteur s’engage notamment à « tenir absolument secret son code confidentiel et ne pas le communiquer à qui que ce soit » ainsi que de « veiller à le composer à l’abri des regards indiscrets » sous peine d’engager sa responsabilité. Il est important de noter que le porteur de la carte n’en devient pas propriétaire. La carte reste la propriété de la banque qui peut décider de la reprendre si cela s’avère nécessaire.
Les réseaux : Le réseau monétique regroupe les organismes financiers au sein d’un même pays, ou appartenant à des zones géographiques différentes.
Les réseaux régional (GIM-UEMOA) : Le Groupement Interbancaire Monétique de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (GIM-UEMOA) :La BCEAO joue le rôle de fédérateur pour le volet de la monétique et de l’interbancarité au travers de la création des deux structures interbancaires à vocation complémentaire, dotées de personnalités juridiques distinctes à savoir : d’une part, une structure de gouvernance de la monétique régionale créée en février 2003, sous forme de GIE et dénommée le « Groupement Interbancaire Monétique de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine » (GIM-UEMOA), est chargée notamment d’assurer le suivi de la réglementation, la normalisation du système monétique interbancaire, l’élaboration de la tarification interbancaire, la veille technologique, les relations avec les émetteurs internationaux, la promotion des cartes interbancaires et la formation de ses membres. D’autre part, une structure de traitement ou «Centre de Traitement Monétique Interbancaire » (CTMI-UEMOA).
Les réseaux internationaux : Il s’agit de la solution permettant aux membres d’émettre des cartes co-marquées GIM-MasterCard, GIM-VISA et GIM-UNION PAY et d’accepter les cartes MasterCard, VISA et UNION PAY sur leurs DAB/GAB.